
Dans certaines situations, cependant, cette augmentation peut avoir des conséquences négatives: une accélération excessive de la croissance peut se produire aux dépens de la maturation adéquate des organes.
Dans l'étude, l'équipe de recherche a testé 34 femmes enceintes en bonne santé, qui ont participé à l'amniocentèse dans le cadre du diagnostic prénatal.
Un tel test constitue une situation de stress pour la femme enceinte, car son corps sécrète du cortisol à court terme.
Pour déterminer si le placenta libère également des hormones de stress, les chercheurs ont comparé le niveau de cortisol dans la salive de la mère avec le niveau de CRH dans le liquide amniotique – et ont déterminé qu'il n'y avait aucun lien.
La situation des résultats concernant le stress prolongé est complètement différente, comme cela a été déterminé en utilisant des questionnaires pour diagnostiquer la surcharge sociale chronique:
Cette concentration plus élevée d'hormone du stress accélère à son tour la croissance du fœtus. En conséquence, l'effet de l'hormone sur la croissance est confirmé, comme cela a été observé chez les animaux tels que les têtards:
Si leur étang est sur le point de s'assécher, la CRH est relâchée chez les têtards, ce qui entraîne leur métamorphose.
Les psychologues conseillent aux femmes enceintes qui sont exposées à des situations de stress à plus long terme de «demander l'aide d'un thérapeute pour mieux gérer le stress».
Le stress pendant la grossesse ne peut cependant pas toujours être évité. Un lien sécurisé entre la mère et l'enfant après la naissance peut neutraliser les effets négatifs du stress pendant la grossesse.